Chaque ligne révèle une crête sur laquelle la lumière s’accroche, c’est encore plus blanc.
Pourtant, il y a le feu, la terre, la tourbe.
Je dessine en creux par le contour, le passage des matières organiques sur le papier, c’est une empreinte du vide en réserve de la poussière et des sédiments.
Je vais au blanc sans me couper de la lumière, ce socle sur lequel il ne faut pas peser, la lumière, le lieu des particules.